Ancêtres de Léo Barolet (Lignée paternelle)
LÉO BAROLET
7 août 1976
Magog
DENISE DUCHARME
RENAUD BAROLET
25 septembre1940
Weedon
CÉCILE CARON
JOSEPH BAROLET
6 octobre 1902
Weedon
EUGÉNIE GALIPEAU
MAXIME BAROLET
15 octobre 1850
St-Léon de Maskinongé
MARGUERITE DESCHÊNES MIVILLE
PIERRE BAROLET
27 avril 1819
Louiseville
ANGÉLIQUE CORRIVEAU
CLAUDE BAROLET
13 octobre 1788
Rivière-du-Loup
MARGUERITE GRENIER
CLAUDE VITAL BAROLET
avant 1753
Beaubassin, Acadie
ROSALIE CORMIER
CLAUDE BAROLET
1 novembre 1716
Contrat notaire Jacques Barbel
FRANÇOISE DUMONTIER
PIERRE BAROLET
Date inconnue
St-Jacques de la Boucherie, Paris, Île-de-France, France
MARIE DAUTEUIL
Données sur les ancêtres Barolet
Léo Barolet est un entrepreneur en construction qui depuis plus de quarante ans oeuvre dans la région et engage plusieurs dizaines d’employés sur ses chantiers.
Le patronyme Barolet n’est pas commun. Le cheminement de la famille au cours des siècles ne l’est pas non plus et s’avère très intéressant. L’ancêtre Barolet est né à Paris en France de Pierre et Marie Dauteuil. Il est le seul de ce nom connu comme premier arrivant en Nouvelle-France. Il traverse l’Atlantique vers 1708 pour s’installer à Québec comme marchand. Il prendra épouse en la personne de Françoise Dumontier le 1er novembre 1716 devant le notaire Jacques Barbel. Il étudiera comme clerc dans les bureaux du notaire Louis Chambalon puis deviendra lui-même notaire royal pendant 30 ans.
Son fils Claude deviendra capitaine de navire ce qui l’amènera en Acadie où il mariera une Acadienne Rosalie Cormier. Il décède à Louisbourg quelques années plus tard en septembre 1756. Les Barolet des trois générations qui ont suivi ont célébré leur mariage respectif à Rivière-du-Loup puis dans la région de Maskinongé, Louiseville et St-Léon.
Joseph, père et grand-père d’une nombreuse descendance est venu à Weedon accompagnant son frère prêtre Adolphe nommé curé à Weedon vers la fin du XIXe siècle. Ce curé y est décédé lors de cette dernière cure. Il a donné le nom Adolphe à la paroisse voisine St-Adolphe alors qu’il en était le missionnaire.
C’est ainsi que la famille Barolet a continué à multiplier ses fils dans la région weedonnaise.
Gilles Magnan