Ancêtres de Albert Paiement (Lignée paternelle)

Données sur les ancêtres Paiement

Albert Paiement a possédé pendant de nombreuses années son entreprise de transport dans la région. Cet homme entrepreneur y a laissé sa marque et est bien connu des gens de Weedon.

Pierre Payment, le premier ancêtre de Albert est venu en Nouvelle-France au début du XVIIIe siècle. Il venait du Languedoc en France. Dans ce pays, son père portait le même nom que lui et sa mère s’appelait Françoise Lafleur. Il s’est marié à Montréal en 1724 à Françoise Poitevin Potvin.

Nos recherches généalogiques nous confirment que les premiers arrivants à Weedon entre les années 1847 et 1875 provenaient presque en totalité de la région maskoutaine. Après les années 1880, la bonne majorité des autres arrivants à Weedon et la région venaient de la Beauce, avaient passé dans les comtés de l’est de la province c’est-à-dire Bellechasse, Lotbinière et Kamouraska. Presque tous avaient leur origine première dans la région de Québec dont L’Île d’Orléans et Charlesbourg.

Ce n’est pas le cas des Payment. Voici une note particulière pour la famille Paiement de Weedon : il faut remarquer que tous les ancêtres directs de Albert ont vécu dans la région de Montréal après que l’ancêtre Pierre s’y soit marié et installé. Après plusieurs générations dans ce grand centre, certains d’entre eux, dont les Payment, sont allés vers les cantons de l’est. Ce mouvement des générations est beaucoup moins fréquent que celui exposé précédemment.

De son côté, le patronyme a évolué de Payment à Paiement vers la fin des années 1890. Ce changement semble coïncider avec le déplacement de la famille de Montréal à Ham-Sud. Vous pouvez remarquer que le prénom Pierre a été très populaire chez les ascendants de Albert.

Selon les généalogistes, Pierre Payment est le seul portant ce patronyme à venir en Nouvelle-France et à y assurer une descendance connue en Nouvelle-France.

Le patronyme Paiement est classé au 787e rang parmi les noms de famille les plus utilisés au Québec en 2006 selon l’Institut des Statistiques de la Province.

Gilles Magnan